moehau sjölander ≈ reece king

LES POINTS IMPORTANTS SUR TON PERSONNAGE

(PAPA) Papa le héros. Papa le martyr. Papa la figure tragique d'un passé qu'il s'efforce désespérément d'oublier. En vain. Papa est mort. Papa est partie. papa s'est pris une balle dans la tête en direct pendant qu'il prononçait un discours à la télé. on lui a dit que son papa c'était un homme bien, mais ça il l'a toujours su. Papa c'était le plus beau. Le plus intelligent. Le plus fort. Alors pourquoi est ce qu'il est plus la son papa ? Papa est mort. Papa est parti. Papa est montée au paradis.

(LES JUMEAUX) Il était pas super emballé au début. Il comprenais pas. Il avait l'impression qu'on essayait de le remplacer. Partout ou il allait on faisait que lui parler du bébé. Maman attend un bébé. Il faut préparer l'arrivée du bébé. Ce satané bébé. Il n'était même pas encore venu au monde qu'il le détestait déjà. Puis maman a accouché. Il a attendu pendant des heures assis comme un con à attendre que ce fichu bébé veuille bien se décider à sortir. Puis il l'ont appeler dans la salle, papa et lui. Et il a découvert qu'il n'y avait au final pas un mais deux bébé. Un garçon et une fille. Morveux n°1 et morveuse n°2. Avec le temps il quand même finit par bien les aimer ces bébés. Il a mis de côté sa jalousie puérile et il a endosser le rôle du grand frère. Il s'est mis en tête de les protéger à tout prix parce que ces petits démons ont très vite démontrer un don pour s'attirer des ennuis.


(SOLITUDE) Il n'a pas beaucoup d'amis, moe. Il clame partout qu'il n'en veut pas, la vérité c'est qu'ils finissent tous par se faire la malle. C'est un mystère moe. un mécanisme complexe. Une énigme trop dure à déchiffrer. Les gens comprennent pas comment il est, comment il marche. Alors il se barrent, un par un. Et moe se retrouve tout seul.

(SKATER) Maestro de la rue, poètes des roulettes, Génie du backflip. Le skate toujours greffé aux pieds, comme s'il savais plus marcher, comme si il savais plus courir, comme si il pouvais juste rouler. Rouler le jour, rouler la nuit, rouler en ville, rouler à la campagne. Rouler là où c'est possible. sauter, s'accrocher à la planche, retomber dans un déchaînement métallique. Ça lui est venu quand il avait douze ans, quand il voyais les grands qui apprivoisaient les planches à roulettes. Depuis tout ce temps, son corps est meurtris, marqué de ces figures ratées, de cet équilibre fragile, perdu trop tôt, trop vite.

(IDÉALISTE) Il se demande bien ce qu'il fais ici. Pas à Auckland. Sur terre. La raison de sa présence ici. Son destin. Il rêve de faire de faire de grandes choses, de laisser son empreinte sur le monde avant de partir. Entrée dans les mémoires. Mais il n'est qu'un simple étudiant. Il ne laisseras rien sur terre. Rien qu'un lointain souvenir. Aucune trace de son passage. Un simple aller-retour. Et pourtant parfois il se demande si c'est vraiment de ça dont il a envie. Travailler. Dépenser. Recommencez. Aimer un peu. Pleurer beaucoup. Souffrir passionnément. Ça pourrait être tellement différent, et des fois ça lui donne envie de gerber, quand il les vois tous les matins, s'entasser dans le métro, se serrer les uns contre les autres pour aller droit à l'abattoir. Il déteste ça au fond, il sais juste pas comment changer les choses. Et puis tu il se dit qu'il est es un peu trop idéaliste, et qu'il aura tout le temps de regretter de n'avoir rien fait de grand quand il sera vieux.